Mischa Hauswirth, rédacteur à la Basler Zeitung BaZ parle avant l’ouverture d’un procès pénal contre six ressortissants turcs pour chantage, recel illégal d’armes et autres délits de la «mafia turque» qui est difficile à comprendre. Sous le titre «La violence brute comme signe de reconnaissance» il évoque quatre procès qui se sont tenus ces 17 dernières années, dont au moins deux concernaient plus ou moins directement des organisations de gauche kurdes. Le rédacteur déclare: «Dans le tourbillon de la vague d’immigration en provenance du Bosphore dans les années 70 et 80, une nouvelle conception du droit est également apparue en Suisse, qui offrent des parallèles avec la mafia italienne.» Et plus loin: «Les Turcs se connaissent entre eux. Les familles sont connectées et parfois réparties dans tout le pays. Les Turcs se marient entre eux, font du commerce entre eux, demeurent de préférence entre eux dans leurs cafés et restaurants. Certains se servent de cette manière de vivre introvertie pour trouver de nouvelles victimes pour leur chantage.»

26.5.2012
a.gerdes

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