Environ 150 extrémistes de droite se sont retrouvés près de la gare pour rendre hommage à l’un de leurs sympathisants qui, il y a 5 ans, s’était fait violement agresser à cet endroit jusqu’à ce que mort s’en suive. Ils ont déposé une couronne, des fleurs et des bougies. Quelques jours plus tard, Mario Friso écrit sur la page web du PNOS que «la violence des personnes étrangères à notre culture» n’a pas de limites et que l’état n’est pas en mesure de « protéger ses citoyens contre les criminels étrangers ». Il ajoute encore : «Œil pour œil, dent pour dent – on nous laisse à notre destinée, et c’est pourquoi ce proverbe doit être appliqué par chaque confédéré à l’égard des criminels étrangers.»
1.6.2008